Panne de réveil ce matin. Le soleil nous paraît haut. En effet, il est neuf heures.

Nous sortons de la ville aux sept collines seulement à onze heures.

Après une grasse matinée bien méritée, nous attaquons le nettoyage du vélo.

Nous sommes réveillés par le muezzin de Beli Vir à sept heures moins dix puis par une bécasse qui se pose sur notre cabane.

Nous partons sous la pluie, comme nous en avons l’habitude ces derniers jours.

Il est six heures quinze, une pluie fine me tapote le peu d’espace qu’il y a entre le bas de mon bonnet que j’utilise pour occulter la lumière et qui m’arrive juste au dessus du nez et ma doudoune qui s’arrête en dessous de mon nez.