Hier soir, nous avons trouvé refuge dans un rucher abandonné. Nous avons dormi au premier après avoir déblayé les cinq centimètres de sable qui recouvraient le sol et entassé les ruches près des fenêtres pour couper le vent et ne pas être vu depuis la nationale.

Nous sommes réveillés par des ouvriers agricoles qui élaguent les bouchures du champ voisin.

Après une quinzaine de kilomètres, nous passons l’aéroport d’Izmir et sortons de l’agglomération.

Nous prenons un second jour de repos pour visiter la ville.

La journée est consacrée à la récupération de celle d’hier et ses cent quatre-vingt-cinq kilomètres.

Nous reprenons la route sous une pluie fine qui se dissipe à mesure que nous prenons de la hauteur.