Après un peu moins de six heures de sommeil, l’heure est venue de libérer l’appartement et de se rendre à l’aéroport.

Armés de notre carte de transport, nous revisitons le magasin de la veille qui proposait les bidons avec la plus grande contenance: seulement huit cents millilitres.

Après un repos bien mérité, nous nous rendons dans une laverie voisine.

La nouvelle tombe, les frontières terrestres avec l’Azerbaïdjan sont fermées sous prétexte de covid 19.

Nous avons décidé de poser nos matelas en contrebas du monastère.

Nous quittons Kutaisi et entrons dans une forêt. Nous nous croirions presque dans la forêt de Châteauroux lors de nos séances d’entraînement.