La journée est consacrée à la récupération de celle d’hier et ses cent quatre-vingt-cinq kilomètres. Nous passons la fin de matinée à nous balader dans le quartier et faire des provisions.
Retour dans notre place forte: déjeuner et sieste sont au programme.
Puisqu’il ne se passe rien aujourd’hui, nous avons pensé dédié ce billet à la nourriture que nous consommons quotidiennement.
Le petit-déjeuner consiste normalement en des tartines de pain avec du beurre de cacahuètes et de la confiture. Le tout est accompagné de notre potion magique: flocons d’avoine, chocolat en poudre, amidon de maïs, collagène marin et eau chaude ou froide suivant la motivation.
Ensuite nous grimpoms sur le vélo. Généralement, la situation changeant suivant le dénivelé du jour, nous mangeons une confiserie au bout de vingt kilomètres. Celle du moment est le snickers turc: le canga. Il est meilleur que l’original, il y a beaucoup plus de cacahuètes et donc deux fois plus de protéines.
Après quarante kilomètres, un paquet de biscuits se fait habituellement dévorer. En ce moment, c’est souvent un paquet de gaufrettes ou de tartelettes à la cerise ou à l’orange saupoudrées de vermicelles au chocolat.
Ensuite, nous faisons une pause déjeuner aux soixante ou quatre-vingt kilomètres selon les reliefs. C’est en général des sandwichs fromage et blanc de dinde.
L’après-midi, les en-cas du matin recommencent.
En plus de tout cela, nous avons dans notre vide-poches un pochon rempli de fruits secs en tout genre:
Les promotions et les arrivages suivant les pays guident nos choix.
L’heure du dîner arrive et les pâtes sont quasiment toujours au menu accompagnées de fromage. Le boulgour, le riz et la semoule forment de rares exceptions. Ces féculents sont souvent accompagnés d’un autre: le pain. Nous le tartinons parfois de houmous ou de miel.
Côte boissons, nous buvons quasiment exclusivement de l’eau que certains aiment aromatisée avec du jus de citron. Certains soirs, nous nous réchauffons aussi avec une camomille.
La soirée sera consacrée à la maintenance de notre transmission et au rattrapage des bourdes du mécano d’Istanbul.