Réveillés à neuf heures par une perceuse, nous réalisons que nos jours de repos ne sont que très rarement reposants.
Nous arpentons les rues pavées de la vieille ville en faisant le tour du château dont l’intérieur est fermé aux visiteurs à cette époque de l’année.
De détour en détour, nous atteignons le sommet de l’enceinte extérieur où les chevaux, qui montent les souvenirs vendus à la sauvette, sont garés.
Nous redescendons dans la nouvelle ville pour acheter du pain et goûter quelques pâtisseries locales. Nous tentons le baklava albanais et une sorte de religieuse à la noix de coco. Nous essayons aussi le halva. C’est une confiserie, ici d’origine turque, à base de tahini (crème de sésame). A ne pas confondre avec le halva indien à base de semoule. Plutôt bon mais à consommer avec modération car cela peut devenir écœurant.
Retour dans notre appartement du jour où nous consacrons la fin d’après-midi et le début de soirée à l’entretien des vélos. N’ayant pas trouvé de dégraissant la veille, ni en magasin de vélo ni en magasin de bricolage, nous avons recours au liquide vaisselle et à l’huile de coude pour laver notre transmission.
Nous utilisons le bocal de sauce tomate de la veille rempli de liquide vaisselle et d’eau chaude pour laver la chaîne. Il nous faut trois à quatre trempages secouages pour arriver à un résultat correct.
Demain la Grèce! Pour la petite anecdote, bonjour en grec c’est Καλημέρα qui se prononce kalimera.